4 ans d’expérience dans mon domaine, partant de mon pays, mais je peine à trouver un emploi au Canada

4 ans d’expérience dans mon domaine, partant de mon pays, mais je peine à trouver un emploi au Canada

Un internaute s’interroge ! 

4 ans d’expérience dans son domaine, partant de son pays,
Puis arrivé au Canada, les difficultés de l’insertion professionnelles le force à commencer deux jobs qui semblent bien le nourrir.

Quel serait le best pour la suite à votre avis ?
Se battre pour rentrer dans son domaine dans lequel il pourra travailler moins et gagner ce que lui donne peut-être le cumul de ses deux jobs ?
Ou alors rester pareil sachant que l’argent n’a pas de couleur ?
Ou mieux retourner aux études, ou apprendre un autre métier où l’insertion serait sûrement plus simple à la fin de l’apprentissage ?

Mon point de vue

À court terme, continuer avec les deux emplois peut être viable si cela permet de vivre confortablement, mais à long terme, cela peut être épuisant et insatisfaisant. Se battre pour revenir dans son domaine est une option, mais cela pourrait prendre du temps et nécessite de surmonter plusieurs obstacles comme la reconnaissance des qualifications.

Si l’insertion dans ce domaine parait trop lente, il serait judicieux d’envisager une réorientation vers un métier en demande, avec une formation complémentaire ou un apprentissage. Cela pourrait offrir une insertion plus rapide et des perspectives professionnelles plus stables. En fin de compte, l’important est de choisir une voie qui allie développement personnel, stabilité et bien-être.

Et vous, qu’en pensez-vous ?

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Martial

Le choix face a cette situation est plus personnel que recommendable. Puisqu’il s’agit d’un debat ouvert voici mon point de vue. 
Quand on arrive ici c’est Claire que l’insertion dans son domaine professional est assez difficile et pour la plus part on a deja beaucoup de responsabilités et donc il faut rapidement faire l’argent. Generalenement les job qu’on fait au debut exige parfois beaucoup d’effort physique et donc on ne peut le faire très longtemps sans compter le Rang social qui peut paraître derisoire comparativement au passé au pays( pour les chefs d’Ese comme nous (: )
Donc en penssant sur le long terms, il faut certe commencer rapidement avec les jobs Mais il faut egalement dans la mesure du possible prendre une formation sur place qui pourrait facilitié l’insertion a notre domaine/ordre professionel. 
Pour les salaire on peut toujours gagner beaucoup d’argent avec les job et meme parfois plus quand on est dans un bon couloir

Martial

Conciliation vie familiale et professional aussi ça peut être bien plus difficult quand on reste dans les jobs qui sont generalement plus demandant question temps. Fin de fin chacun fais le choix salon sa vision. Si tu veux construire les immeubles au bled tu fonces ou il ya le blé.

Parfait

Tout ce qui donne l’argent on prend

Ismaelle

Pour beaucoup d’entre nous, l’idée de recommencer à zéro peut être une source d’anxiété. Alors lorsque le système ne nous offre pas des opportunités que nous attendons dans notre domaine, il est important de se rappeler que nous avons toujours la possibilité de nous adapter et de nous réinventer ( le Hemle camer). 

Nous pouvons choisir de changer de domaine et de nous former pour intégrer plus facilement le système. Ou, nous pouvons décider de recommencer au bas de l’échelle dans notre domaine ( on a souvent cette possibilité mais notre orgueil peut parfois nous empêcher de prendre cette décision) en donnant le meilleur de nous pour grandir en échelon.
( Moi perso, j’ai fait le premier choix).

Quand aux jobs que nous cumulons des notre arrivé, généralement c’est pour gérer les factures en essayant de trouver la bonne voie.

Mais ce choix reste propre à chacun dépendamment de sa vision future, surtout si on prévoit fonder une famille plutard.

Parfait

Hmmm il ya trop de longs crayons ici heinnn. Bon bon voici ma petite analyse objective qui peut justifier le choix de certains d’entre nous :
– pour ceux qui bousculent à rentrer dans leur domaine sont généralement motivés par un sentiment de compétence et d’accomplissement personnel et professionnel, leurs idées sont de gravir en échelon pour augmenter les revenus sur le long terme, surtout avec des efforts de prêt de 4 années d’expérience qu’il ne souhaite pas dissiper. Sauf que cette bataille peut durer longtemps en raison de certaines barrières telles que la reconnaissance des diplômes, les organisations qui se réservent de leurs faire confiance. Les passionnés comme Brumel sont visés par ce genre de situation.

Parfait

Bon ce qui en est de gérer deux jobs , certains le font juste pour satisfaire une stabilité financière instantanée tant que ça lui permet de vivre confortablement. Ce qui fait qu’il gagne en temps comparativement à celui qui cherche un emploi dans son domaine ou celui qui souhaite changer de domaine. Sauf que c’est parfois pénible surtout qu’avec ce cas de figure, il n’entend pas se tracer une carrière. 

Et ceux qui disent se reconvertir en allant aux études pour apprendre un nouveau métier ou encore aller aux études pour avoir un diplôme local a été expliqué déjà.

Brumel

Mon avis, 

Je pense que 4 années d’expérience, c’est beaucoup, c’est même assez, surtout si on ajoute à cela le fait que le détenteur de cette expérience est passé au préalable par 2 ou 03 années de formations pour acquérir les connaissances primitives dans son domaine. 
Du coup je pense que cela vaille la peine de chercher un moyen de s’insérer dans ce domaine plus d’une raison
La première étant qu’on sera sans doute plus à l’aise à y travailler 
Ensuite on a de meilleurs chances de grandir professionnellement vu qu’on connaît mieux la profession et ses contours.
Et si on regarde même plus loin, l’insertion peut être plus facile si on sait présenter son CV et tenir une entrevue 

Cependant, il y’a des personnes qui ont de l’expérience dans des domaines qui sont réglementés par des ordres professionnels, et qui demandent des compléments de formation, dans ce cas, pour exercer, on n’a pas autre choix que de retourner à l’école 

Ce qu’il faut par ailleurs prendre en considération d’après moi est que l’une des grosses difficultés liées à l’insertion ici est que par moment on prétend avoir 4 années d’expérience dans un domaine, alors qu’on y a jamais véritablement travaillé (Connaissance comment l’emploi se passe dans notre cotexte où on sort)… Ajouté à cela, je pense qu’il y’a aussi les mauvais discours que tiennent certaines personnes sur les RS présentant le Canada comme un pays où dès que tu arrives à l’aéroport les employeurs vont se bousculer pour te recruter. Je pense que cela contribue à construire dans la tête des personnes immigrante l’idée d’un environnement facile, où il y’a presque plus d’effort à fournir. 
Ainsi, on se décourage rapidement et commence à baisser les bras, oubliant qu’on vient dans un environnement où on a parfois fait 4 mois après être sorti de l’école pour trouver le premier emploi. 

La place des jobs! 
Je pense comme @martial  l’a dit que les jobs sont bien pour rapidement s’intégrer payer les premières factures et aussi rembourser les dettes, pour ceux qui en ont contracté en quittant; Mais pour le long terme ça épuise et fragilise l’homme. Continuer de chercher l’emploi dans son domaine principal doit demeurer l’objectif premier, et si possible réduire avec le temps les quarts d’heure dans le job pour mieux se concentrer à la recherche d’emploi qui est considéré dans ce pays comme un travail qui demande Sérieux et méthodologie

Reconversion professionnelle
J’encourage les gens qui n’ont jamais véritablement travaillé dans leur domaine, à se reconvertir, car pour eux l’insertion peut être plus compliqué.
Ceux aussi qui ont immigrer avec une intention primaire de reconversion peut y aller aussi.
Mais faut-il directement se reconvertir lorsqu’on peine à trouver l’emploi ? Si on a vraiment plus de 4 années d’expériences dans ce domaine, Je pense que NON 
Faut questionner ses méthodes de recherche d’emploi, discuter avec les recruteurs de son domaine pour apprendre d’avantage sur les éléments qu’on recherche en premier dans un CV de son domaine… Oser demander par moment à recruteur pourquoi est-ce qu’on n’a pas été sélectionné pour un poste… Les réponse nous permettent de mieux nous armer pour les futures opportunités
Je l’ai fait perso plus d’une fois, et ça m’a permis de raffiner mon CV et de m’améliorer 

Les schéma préconçus les discours quotidien et la compagnie
Il y’a une vague de personnes malheureusement qui ont déjà conçu des schémas bizarres d’intégration…
On va te dire, gars tu stresses même pourquoi, fait la formation de Sécurité, et tu vas commencer à 25$/h, 
Fait la formation de PAB, tu vas au commencer au gouvernement à 27$/h
Etc…
Ce qui pousse certains à se réorienter directement à 180° sans même avoir cherché le travail
J’ai été choqué une fois je discutais avec certains camer qui me disaient qu’ils n’ont jamais postulé dans leur domaine. Qu’on leur avait dit que c’est impossible de trouver le travail quand tu viens d’arriver dans ton domaine si tu n’a pas l’expérience du Canada.. qu’il faut soit aller à l’école ou recommencer à zéro

Je pense que s’entourer de bonnes personnes et écouter les bons discours sont aussi déterminants…. Avoir de bon mentors est aussi important.

Les réalités, 
Les choses changent… d’ici 3 ou 4 ans il y aura de plus en plus de main d’œuvre qualifiée et l’insertion peut davantage se compliquer tant pour les natifs d’ici que pour les immigrants.
Aller à l’école c’est bien, mais si la nécessité ne l’exige pas, je pense que ça peut contribuer plutôt à repousser le problème d’insertion qui va refaire surface avec plus d’agressivité dans 2 ou 03 ans quand on aura fini l’école. 

Je pense qu’on doit encourager les gens qui ont une bonne expérience antérieur à chercher le travail dans leur domaine, faire les jobs, oui, pour payer les facture, mais garder beaucoup de temps pour ce concentrer à mieux chercher le travail. Un mauvais emploi de temps au job peut te faire louper l’opportunité que tu cherches depuis longtemps…
Dans son domaine on travaille moins et on est même mieux disposé pour faire les jobs secondaires

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